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Politique

Le ballon chinois a profité d'absences de couverture radar, indique le NORAD

Mais jusqu'à ce que les restes du ballon soient analysés, les responsables canadiens et américains ne sauront pas exactement de quoi il était capable – et quelles informations il aurait pu recueillir.

Cette photographie fournie par Chad Fish montre les restes du ballon chinois tombant dans l'océan Atlantique au large de la Caroline du Sud, peu après qu'il ait été abattu, le 4 février dernier, par l'armée américaine. À la fin de janvier, ce ballon avait survolé le nord-ouest du Canada.
Cette photographie fournie par Chad Fish montre les restes du ballon chinois tombant dans l'océan Atlantique au large de la Caroline du Sud, peu après qu'il ait été abattu, le 4 février dernier, par l'armée américaine. À la fin de janvier, ce ballon avait survolé le nord-ouest du Canada.

Des officiers supérieurs canadiens au NORAD ont révélé vendredi que le présumé «ballon espion chinois» était passé près de plusieurs bases militaires et à travers des «angles morts radar» lors de son vol au-dessus du Canada.