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Politique

«Il est temps»: les objectifs d'Éric Duhaime pour l'élection partielle dans Arthabaska

M. Duhaime a indiqué qu’il se penchera sur trois gros enjeux lors de sa campagne électorale.

Entrevue :

/ Noovo Info
Texte :
/ Noovo Info

«Il est temps» pour le Parti conservateur du Québec (PCQ) d’avoir un député à l’Assemblée nationale, a martelé Éric Duhaime.

Tentant de concrétiser un premier gain conservateur, celui qui a décidé de se présenter lors de la partielle dans Arthabaska a tenté de charmer les électeurs du comté, affirmant que le PCQ est le parti qui leur ressemble le plus.

«C’est un comté rural, des gens qui se lèvent tôt, qui travaillent fort et qui nourrissent les Québécois. C’est un comté qui ressemble au PCQ.»
-Éric Duhaime, chef du Parti conservateur du Québec

Le chef du PCQ avait affirmé devant les résidents de Victoriaville dimanche qu'il était «l'homme des régions», promettant que les conservateurs allaient devenir la voix du «Québec tranquille» et de toutes les régions de la province.

Sur les ondes de Noovo Info lundi, M. Duhaime a également lancé une flèche au système électoral, déplorant que «530 000 Québécois ont voté PCQ lors de la dernière élection», mais qu’aucun député n’est à l’Assemblée nationale pour les représenter.

M. Duhaime a ajouté qu’il se penchera sur trois gros enjeux lors de sa campagne électorale:

  • La vétusté des hôpitaux, dont l’hôpital de l’Hôtel-Dieu d'Arthabaska, «où c’est le bordel».
  • Le manque de transport en commun
  • La crise du logement, «qui frappe aussi les villes de petite taille», mentionne M. Duhaime. «Les jeunes aussi ont de la difficulté à joindre les deux bouts», a-t-il dénoncé.

Le candidat conservateur dans Arthabaska a également promis aux Québécois de s’attaquer au prix de l’essence et de l’égaler à celui de l’Ontario, qui a laissé tomber la taxe carbone.

«C’est inacceptable que les Québécois soient les seuls à payer pour cette charge-là.»

M. Duhaime a conclu en affirmant qu’il souhaitait rassembler les Québécois autour des thèmes économiques, alors que les relations se sont détériorées pendant la pandémie de COVID-19.

«Je n’ai pas aimé la façon dont on a séparé notre société.»

À voir dans la vidéo.

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/ Noovo Info
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/ Noovo Info