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FAE: des syndiqués de l'est de Montréal entérinent l'accord de principe avec Québec
Les membres du Syndicat de l’enseignement de la Pointe-de-l’Île (SEPÎ), à Montréal, se sont prononcées à 58,5 % en faveur de l’acceptation de l’entente de principe survenue entre la FAE et le gouvernement.
Un premier syndicat membre de la Fédération autonome de l’enseignement (FAE) annonce que ses membres se sont prononcés en faveur de l’entente de principe conclue avec le gouvernement du Québec.
En début de nuit, jeudi, le Syndicat de l’enseignement de la Pointe-de-l’Île (SEPÎ), à Montréal, a fait savoir sur les réseaux sociaux que ses membres présents à l’assemblée générale extraordinaire de la veille se sont prononcées à 58,5 % en faveur de l’acceptation de l’entente de principe survenue entre la FAE et le gouvernement.
Ce syndicat représente 4384 enseignants du Centre de services scolaire de la Pointe-de-l’Île, dans l’est de la métropole.
La Fédération autonome de l’enseignement recommande d’entériner l’entente, mais certains dirigeants syndicats locaux ont indiqué qu’ils n’entendaient pas emboîter le pas.
À voir également : Que se passera-t-il si la FAE rejette l’entente de principe avec le gouvernement?
Il est prévu que les syndiqués à la FAE des centres de services scolaires de Montréal et de Laval se prononceront à leur tour jeudi soir, en assemblée générale.
L’accord conclu entre la FAE et le gouvernement prévoit des hausses salariales pouvant atteindre 24 % sur cinq ans.
La FAE regroupe neuf syndicats qui représentent plus de 66 500 enseignants du préscolaire, du primaire, du secondaire, de l’enseignement en milieu carcéral, de la formation professionnelle et de l’éducation des adultes, surtout.