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Une entente de principe est survenue dans la nuit de mercredi à jeudi entre la direction de l’École nationale de police de Nicolet (ENPQ) et le Syndicat de la fonction publique et parapublique du Québec (SFPQ). Les quelque 400 employés concernés évitent
Une entente de principe est survenue dans la nuit de mercredi à jeudi entre la direction de l’École nationale de police de Nicolet (ENPQ) et le Syndicat de la fonction publique et parapublique du Québec (SFPQ). Les quelque 400 employés concernés évitent donc une troisième journée de grève, qui était prévue pour le 20 janvier.
Vers 2h du matin, les deux partis en sont finalement venus à une entente. Aucun détail ne sera divulgué avant que tous les membres du SFPQ aient reçu les explications simultanément. Ils rendront ensuite leur décision dans les prochains jours.
« Après prêt de 3 ans de négociations, nous sommes heureux d’avoir été en mesure de conclure une entente de principe satisfaisante pour les deux parties. L’importante mobilisation des membres a porté fruit. Je tiens également à remercier les membres de l’équipe de négociation pour le travail accompli », indique Frédérick Dagenais, président régional du SFPQ.
Les 400 travailleuses et travailleurs de l’ENPQ, représenté par le SFPQ, sont sans contrat depuis près de 3 ans. Pour faire avancer les négociations, les syndiqués avaient débrayé les 15 et 16 décembre dernier et prévoyaient le faire à nouveau le 20 janvier prochain. Un médiateur avait été appelé en renfort la semaine dernière à la demande de la direction de l’ENPQ.
Cette entente de principe concerne les comédiens, les instructeurs, le personnel en cuisine et en hébergement, de même que les employés à l’approvisionnement et au soutien technologique de l’ENPQ.