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Selon Dominic Vallières, plusieurs évènements pourront influencer le vote du 3 octobre lors des 35 prochains jours.
Alors que la majorité des sondages pointent vers un gouvernement majoritaire caquiste, bien des choses demeurent à surveiller en vue de la campagne électorale, qui a officiellement débuté dimanche matin.
Selon Dominic Vallières, plusieurs événements pourront influencer le vote du 3 octobre lors des 35 prochains jours.
À voir dans la vidéo ci-dessus.
Cependant, l’analyste politique estime qu’il serait extrêmement surprenant que François Legault ne soit plus le premier ministre du Québec à la suite des élections provinciales.
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«Ça prendrait un alignement de planètes exceptionnel. Est-ce que la CAQ peut perdre des plumes? Certainement. Est-ce qu’elle peut tomber en territoire minoritaire? C’est possible. Est-ce qu’un autre parti peut légitimement aspirer à former le gouvernement le 3 octobre au soir? J’en doute très fortement», a-t-il lancé sur les ondes de Noovo Info.
Dans le cas où la Coalition avenir Québec (CAQ) serait encore au pouvoir, le parti qui occupera le rôle de l’opposition officielle demeure incertain.
Aux yeux de Dominic Vallières, le Parti libéral du Québec terminera au deuxième échelon grâce à la mobilisation des différentes communautés anglophones.
«On doit y aller avec les libéraux. Pourquoi leur vote s’est effondré en 2018? C’est parce que les différentes communautés anglophones ne sont pas allées voter. Il faut mobiliser ces anglophones-là. Il faut savoir que les électeurs péquistes, lorsqu’ils ne sont pas contents, ils vont voter pour un autre parti. Les électeurs libéraux, quand ils ne sont pas contents, ils restent à la maison. Donc, il y a un potentiel de reconquérir ces cœurs-là», a expliqué l’analyste politique.
Si la cheffe Dominique Anglade ne parvient pas à réaliser cette mission, il est fort probable que Québec solidaire se hisse au deuxième rang, a ajouté M. Vallières.
En conclusion, Dominic Vallières s’est penché sur le dossier d’Éric Duhaime et du Parti conservateur du Québec (PCQ), disant que le parti politique doit cesser de toujours ritiquer et de proposer des solutions afin de pouvoir attiter plus de votes.
«Si les conservateurs sont en mesure de bien cibler leurs circonscriptions et d’arriver avec des propositions qui rassemblent un peu plus de gens, alors c’est possible.»