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«J'ai trouvé un modèle que je suis allé chercher à l'Île Verte, dans l'est du Québec», a raconté Jacques Thivierge, copropriétaire de la Fudgerie de Charlesbourg. «Graduellement, l'épave va vieillir, rouiller et prendre sa place dans la nature.»
Et, ce projet ne passe pas inaperçu auprès des passants et automobilistes.
«La réponse est tellement belle que les gens débarquent même après la fermeture de la Fudgerie pour prendre des photos», a indiqué M. Thivierge.
Avec le soutien de la municipalité, cette première voiture pourrait bien être la première d’une longue lignée de 18 autres épaves restaurées et dispersées chez les commerçants du Trait Carré.
«Ça serait un projet rassembleur», a ajouté M. Thivierge.
«C'est un quartier historique de la Ville de Québec», a mentionné Marie-Pierre Boucher, conseillère municipale du district de Louis XIV. «Des fois, on pense à Cartier avec ses lampadaires. Mais pourquoi pas Charlesbourg avec ses vieilles voitures?»
Voyez le reportage de Frédérique Bacon dans la vidéo.