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Des jeunes de 1re, 2e et 3e année se retrouvent ainsi au quotidien avec des collègues de classe plus jeunes et plus vieux, et la formule fonctionne très bien, selon Mme Côté et Mme Favreau.
À l’aide d’une technicienne en éducation spécialisée, le groupe est séparé en trois et on alterne l'enseignement des matières.
De plus, elles préfèrent des petits ateliers de quatre ou cinq élèves plutôt que des exercices en grand groupe. «De cette façon-là, on peut tout de suite voir qui a plus de difficulté», admet Annick Côté. L’autonomie des jeunes s’est donc beaucoup développée depuis la fin août.
Les élèves de 3e année aident d’ailleurs souvent ceux de 1re avec leurs exercices, ce qui est très valorisant pour les plus vieux et bénéfique pour les plus petits.
Dominique Côté est allée à leur rencontre, en cette Semaine des enseignants et des enseignantes.