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Les jeunes de 14 ans et plus ayant été consultés ont déclaré en grande partie subir de l'intimidation sur les réseaux sociaux. Beaucoup d'élèves sont témoins de contenus inappropriés.
Les jeunes estiment que l'âge d'inscription sur les réseaux sociaux devrait être repoussé, sans pour autant les pénaliser, pour le moment.
Après de premières consultations en septembre, auprès d'experts et de législations étrangères, le mandat de la Commission reste de travailler pour encadrer l'usage de écrans. Cette semaine en tournée dans les écoles, la députée de Rivière-du-Loup–Témiscouata a expliqué vouloir comprendre la réalité des jeunes.
«La grande majorité des jeunes ont un cellulaire vers la fin du primaire, entre 7 et 12 ans, s'inscrivent sur les réseaux sociaux malgré l'âge minimum imposé, admettent qu'ils détournent les règles des parents et se réveillent même la nuit pour regarder les écrans», a déclaré Mme Dionne.
«Les parents passent beaucoup de temps sur les écrans, ce qui n'aide pas les enfants à reconnaître les problématiques. Ils sont d'accord que le téléphone est nterdit dans les classes, mais le besoin de sécurité et d'être capable de rejoindre les parents aurait été soulevé par les jeunes de nombreuses fois.»
Voyez le reportage de Lila Mouch dans la vidéo.