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Cette campagne vise à sensibiliser les étudiants sur des comportements inappropriés, qui peuvent survenir pendant les initiations plus précisément.
Oui, il peut y avoir des initiations sans débordements. «C'est le message qu’on envoie depuis plusieurs années», a rappelé le président de la Fédération des cégeps, Bernard Tremblay au bulletin Noovo Info Le Fil 17.
«Depuis 2014, il y a eu un certain nombre de campagnes. Avec la pandémie, il y a eu quand même un certain temps d’arrêt», a-t-il expliqué. «Il y a des gestes forts qui sont passés depuis 9-10 ans par le réseau collégial et universitaire afin de discipliner ces activités.»
«On vise à changer des mentalités qui existent depuis longtemps. C’est une période un peu festive.»
Selon M. Tremblay, les mentalités continuent de changer et d'évoluer avec le temps, notamment en raison des différentes actions qui sont mises en place.
«Il y a des gestes administratifs comme des politiques, des codes de conduites, des bureaux d’interventions, mais une campagne de publicité est peut-être ce qui rejoint le plus les jeunes et qui les fait réfléchir par rapport aux comportements inacceptables», a-t-il souligné.
Pendant l’année, les étudiants peuvent toujours participer aux activités de sensibilisation proposées dans des kiosques. Il y a également des formations obligatoires pour tout le personnel collégial et les étudiants ainsi que des bureaux d’interventions dans les cégeps.
Voyez l'entrevue complète au bulletin Noovo Info Le Fil 17 dans la vidéo ci-contre.