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En plus d’offrir un toit sécuritaire aux femmes, et à leur(s) enfant(s) au besoin, les centres d’hébergement pour femmes victimes de violence offrent une multitude de services, dont des consultations avec des intervenantes et de l’aide à la recherche de logement.
La crise du logement qui frappe actuellement le Québec est parfois un réel frein pour certaines femmes lorsque vient le temps de se sortir d’un milieu de vie malsain.
«Les femmes doivent tout de même venir chercher de l’aide parce que c’est essentiel pour leur bien-être et le bien-être de leur(s) enfants(s) si elles en ont […]», explique Sabrina Bernier, directrice générale de la Maison De Connivence.
Mme Bernier ajoute que les centres d’hébergement – dont la Maison De Connivence – font de plus en plus face à des situations «à haut risque».
«C’est lorsqu’il y a un risque imminent pour la femme et/ou les enfants. Ça, c’est des choses qu’on ne voyait pas autant par le passé», précise-t-elle.
Pour une rare fois, la Maison de Connivence de Trois-Rivières – dont l’adresse est évidemment gardée secrète - a ouvert ses portes.
Découvrez dans le reportage de Valérie Gendron ce qui se passe derrière ses murs où des femmes se reconstruisent un pas à la fois.
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Joindre SOS violence conjugale [7 jours sur 7 et 24 heures sur 24] : 1 800 363-9010
Trouver une maison d'aide et d'hébergement dans votre région : Regroupement des maisons pour femmes victimes de violence conjugale
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