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Ces personnes remplissent toute une gamme de postes, comme aux opérations de machine, à l’accueil, aux bars et à la sécurité.
C’est le cas de Jessica Martin, une représentante des affaires pour une entreprise de 9h à 17h, du lundi au vendredi. Mais depuis quelques années, Mme Martin devient préposée au bar pendant le FEQ.
«Oui, on fait une partie des sous, mais c’est aussi l’événement, les têtes d’affiche. Je n’avais pas le choix de venir», soutient-elle.
Même son de cloche pour Lissette Denis, une massothérapeute, qui se transforme en serveuse pour un bar sur l’avenue Grande-Allée pendant dix jours.
«C’est quand même payant, mais [c’est aussi] l’ambiance. Les gens sont de bonne humeur. C’est effervescent. Il y a du monde partout de midi jusqu’à 3 heures du matin», rapporte Mme Denis.
D’ailleurs, plusieurs de ces travailleurs temporaires sont d'anciens employés de ces établissements. Pour les propriétaires de bars et de restaurants, cette main-d’œuvre est une réelle «mine d’or».
Voyez le reportage de Laurence Royer dans la vidéo.