Début du contenu principal.
La région de Chaudière-Appalaches est particulièrement touchée, alors que plus de 200 cas ont été recensés depuis le début de l’année. La grande majorité des personnes touchées sont des adolescents âgés entre 12 et 17 ans.
Les autorités de santé publique ont d’ailleurs transmis une lettre aux parents pour les informer des mesures sanitaires, alors que toutes les écoles secondaires sont considérées à risque «élevé» jusqu’à la fin de l’année scolaire.
Sur la Rive-Nord, la situation est plus calme, mais pas hors de danger, alors qu’on a détecté près de 70 cas.
La coqueluche est une infection qui revient périodiquement entre deux et cinq ans, explique la médecin au conseil en santé publique de la Capitale-Nationale, Dre Chantal Sauvageau.
L’infection est principalement caractérisée par le symptôme de la toux.
«À la fin de la quinte de toux, on a tellement toussé qu’à l’inspiration, ça fait un bruit de chants de coq», poursuit Dre Sauvageau.
Le vaccin peut aider à réduire les symptômes, mais n’empêchera pas la transmission de la coqueluche. La vaccination est toutefois critique, particulièrement pour les bambins, qui pourraient mourir d’une infection.
Voyez le reportage de Mathieu Boivin dans la vidéo.
Note de la rédaction: La version initiale de cet article indiquait qu'il y avait eu plus de 2000 cas de coqueluche recensés depuis le début de l'année, alors qu'il s'agit en fait de 200 cas. Pour plus d’information, consultez les normes éditoriales de Noovo Info.