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Angeline Mariotti estime qu’il est inacceptable que la qualité de vie de sa sœur Sandrine — atteinte de sclérose en plaques — soit grandement réduite par ses coupures.
Faute de financement, l’organisme n’offre plus de transport le lundi, mardi et mercredi soir.
«Je ne peux pas croire qu’on accepte, en 2024, qu’il ait juste une certaine partie de la société qui est valable», exprime Mme Mariotti.
De son côté, la mairesse, Stéphanie Lacoste, promet de mettre la «pression politique» pour trouver des solutions.
Voyez le reportage d’Alexandra Paré dans la vidéo.