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«On veut que le laissez-passer se partage. On ne fait pas juste le tolérer, on l’encourage, c’est la base même de notre modèle. C’est comme ça qu’on a de grosses foules sur le terrain», a-t-il expliqué lors d’un entretien avec Noovo Info, jeudi.
M. Bellavance soutient que le FEQ «n’est pas préoccupé par l’aspect économique» et «ne cherche pas à maximiser ses revenus», bien au contraire.
Questionné quant aux robots s’accaparant des laissez-passer du FEQ, le directeur de la programmation du FEQ avance que les robots détenteurs de billets sont peu nombreux.
«Sur les sites de revente, ce sont les particuliers qui décident de revendre leur billet et ce n’est pas illégal.»
Smog, chaleur intense, pluie et orages guettent de plus en plus les festivaliers, qui souhaitent du beau temps pour la 55e édition du FEQ.
Malgré ces facteurs inquiétants, M. Bellavance soutient qu’un évènement extérieur comme le FEQ ne peut pas réellement réagir face aux intempéries et simplement s’ajuster.
«Il va y avoir des choses à travailler en parallèle, mais la journée d’un spectacle, si l’air n’est pas correct, s’il y a des éclairs, s’il y a des vents, on n’y peut rien, ça fait partie de la réalité. Il faut vivre avec.»
Le directeur ajoute que la Ville de Québec peut s’estimer chanceuse, alors que «des festivals aux États-Unis vivent des situations comme ça depuis toujours», indique M. Bellavance.
«On est choyés, mais on sent que ça change», a-t-il conclu.
À voir dans la vidéo.