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Selon la directrice des communications du Parc régional du Poisson Blanc, Marilou Pelletier, le lieu doit sa popularité à l’unicité de ses sites et de sa qualité d’hébergement.
«On est très connus pour nos sites sur nos îles. Les gens partent en embarcation en autonomie pour deux ou trois nuits. On a aussi des hébergements quatre saisons, qui nous permettent d’accueillir des gens toute l’année», a-t-elle relevé en entrevue avec Meeker Guerrier au bulletin Noovo Le Fil Week-end.
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Le succès est à ce point au rendez-vous pour le parc régional que Mme Pelletier évalue à environ 20 000 le nombre de campeurs accueillis l’année dernière. Depuis quelques années, le Poisson Blanc tente de contrôler l’engouement pour ses terrains en les rendant disponibles en avance pour les abonnés de son infolettre, avec un succès mitigé.
«Il y a vraiment un engouement pour ce qu’on fait et on est hyper reconnaissants. Il faut garder en tête qu’on est un organisme à but non lucratif, c’est important de garder en tête qu’on doit jongler avec des contraintes importantes pour faire le plus d’heureux possible», soutient Mme Pelletier.
Le Parc régional du Poisson Blanc fait de la protection de l’environnement l’un de ses chevaux de bataille. Mais comment mener à bien cette mission en accueillant des milliers de visiteurs chaque année?
«À la base, le parc régional est né d’un besoin criant de prendre en charge le territoire, explique Marilou Pelletier. Avant, les gens venaient camper gratuitement, quand ils le voulaient. Il n’y avait pas vraiment de structure, ça n’aurait pas été soutenable à long terme. On vient jouer un rôle de facilitateur de bonnes pratiques.»
Pour l'entrevue intégrale, visionnez la vidéo liée au texte.