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En entrevue sur les ondes de Noovo Info jeudi, Mme Setlakwe affirme que cette initiative est saluée par le milieu municipal, qui souhaite que les comportements abusifs cessent.
«On veut restaurer un climat sain pour que les élus municipaux puissent évoluer dans le cadre de leur travail sans faire l’objet d’abus, de menaces et de harcèlement», a-t-elle expliqué.
Mme Setlakwe déplore que plusieurs élus victimes de harcèlement ont décidé de démissionner par le passé.
«Des élus qui ont porté plainte saluent cette mesure qui va venir instaurer un régime de pénalité», a-t-elle lancé.
Le projet de loi déposé par la ministre des Affaires municipales, Andrée Laforest, prévoit notamment qu’une personne qui entrave l’exercice des fonctions d’un élu municipal ou d’un député en le menaçant, en l’intimidant ou en le harcelant de façon à lui faire craindre pour son intégrité ou sa sécurité serait passible d’une amende entre 500 et 1500 $.
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