Début du contenu principal.
«C'est important parce qu'on vient chercher des appuis financiers ou des appuis de la part des travailleurs pour qu'on puisse venir leur expliquer notre conflit et ce qu'on vit sur la ligne de piquetage», a expliqué Daniel Bilodeau, vice-président exécutif du syndicat de PFR Alma.
Selon le syndicat de PFR Alma, les dirigeants de l'entreprise refusent toujours de négocier les conditions de travail.
«On est là pour les supporter. Il ne faut pas oublier qu'il y a six mois, nous étions au bord de la grève. Ils sont justes à notre place six mois plus tard. La gang de Kénogami va être là pour les soutenir et ils sont toujours bienvenus chez nous», a ajouté Gilles Vaillancourt, président du syndicat de l’usine PFR de Kénogami.
Voyez le reportage de Pierre-Alexandre Fontaine ci-contre.