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«On n’est pas surpris de la montée des cas de violence dans les écoles, c’est en constante progression», a indiqué Éric Gigras, président de la CSQ en entrevue au bulletin Noovo Info 17 animé par Marie-Christine Bergeron.
Selon lui, le principal problème serait que la violence dans les écoles est souvent banalisée.
«Il existe un code de vie et s’il était suivi comme il se doit, on ne vivrait pas la crise qu’on vit présentement», déclare M. Gigras.
La solution serait d’abord de contrer la pénurie de main d’œuvre. Le président de la CSQ souligne que lorsqu’il manque de personnel qualifié dans les écoles, comme c’est le cas en ce moment, des évènements comme vendredi où un élève s’en est pris physiquement à une enseignante, c’est quelque chose auquel il faut s’attendre.
Ensuite, il faut s’assurer que la violence à l’école soit tolérance zéro, estime Éric Gigras. Et ce, pour tous les acteurs de la société, «autant les profs, que les intervenants, les directions, les centres de services, etc.»
Voyez l’entrevue intégrale dans la vidéo.