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À Weedon, la maison d'hébergement et de transition pour femmes victimes de violence conjugale et leurs enfants La Méridienne affiche souvent complet.
«On a rarement des places de libres. Dès qu'une place se libère, on a des listes d'attente et les femmes sur la liste d'attente vont prendre la place. Ça nous inquiète. Il y a même des femmes de Montréal qui nous appellent parce qu'on est la maison la plus proche où il y a de la disponibilité», a expliqué Anne-Josée Péloquin, coordonnatrice à La Méridienne.
D'ailleurs, on y refuse trois fois plus de femmes qu'il y a trois ans.
Pour plus de détails, voyez le reportage de Dominique Côté dans la vidéo.