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Ce travail de planification se traduit par une recherche d’un équilibre entre l’avancement des travaux et l’accessibilité aux voies routières, a expliqué la ministre Guilbault en entrevue avec Marie-Christine Bergeron, au bulletin Noovo Le Fil 17.
«Et les infrastructures ont toutes besoin d’être réparées. C’est ça aussi le problème», a-t-elle ajouté.
En 2021, 48 chantiers étaient présents sur les routes de Montréal, et ce nombre s’élevait à 49 en 2022, rapporte la ministre. La différence, en 2023, est qu’il s’agit de la première année où la métropole s’ouvre pleinement au retour de la vie après la pandémie, notamment avec le retour de ses festivals avec des programmations complètes.
«Il va y avoir beaucoup de touristes et de grands événements», soulève Mme Guilbault.
Et pour éviter les frustrations, la ministre invite la population à planifier leurs déplacements par l’entremise de la plateforme Mobilité Montréal.
Voyez l’entrevue intégrale dans la vidéo.