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En Mauricie, comme dans plusieurs régions du Québec, l’effet de ces évictions est «dévastateur», soutient la coordonnatrice générale au Centre d’organisation mauricien de services et d’éducation populaire (COMSEP), Sylvie Tardif.
«Il n’y a pas d’autres logements», déplore Mme Tardif. Et malheureusement, cette crise a un impact direct sur l’itinérance.
Depuis, deux ans, le COMSEP suggère à ses membres de ne rien signer avant de déterminer «c’est quoi le problème de l’éviction».
Plusieurs propriétaires proviennent de régions à l’extérieur de la Mauricie, comme la Grande région de Montréal, et augmentent le prix des loyers de plusieurs centaines de dollars, et ce, sans même faire des travaux de rénovation.
«La personne était de Laval, elle venait d’acheter la bâtisse, elle n’avait pas posé un clou, et elle augmentait de 500 dollars», raconte Mme Tardif en guise d’exemple.
Voyez l’entrevue complète dans la vidéo.