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Kévin Roy, président de la Fédération des comités de parents du Québec, a confirmé à Meeker Guerrier mardi au bulletin Noovo Le Fil 22 qu’il recevait un bon nombre d’appels de parents.
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«On reçoit des appels et des messages surtout de parents inquiets. Les parents veulent savoir qu’elle est le scénario pour la rentrée, s’ils vont avoir du transport pour leur enfant et ce qui se passe au niveau des négociations», explique M. Roy.
Une entente de principe est survenue entre le gouvernement du Québec et les centres de services scolaire qui eux doivent à leur tout s’attendre avec les transporteurs scolaires.
« Oui, il y a eu une entente de principe au niveau national, mais c’est au niveau local que certains transporteurs refusent de prendre des ententes avec les centres de services scolaire», ajoute M. Roy.
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Kévin Roy rappelle par ailleurs que le transport scolaire est devenu un service essentiel.
«Beaucoup de parents nous appellent et se demandent comment ils vont faire pour transporter leur enfant à l’école et nous sommes à la veille de la rentrée. C’est un service essentiel pour les parents», dit-il.
M. Roy assure que la Fédération des comités de parents du Québec discute de la situation avec des partenaires afin de sensibiliser au fait que le transport scolaire est un service essentiel et qu’il assure aussi une certaine sécurité chez les enfants.
«On peut imaginer la première journée d’école sans autobus. Il pourrait y avoir 400 parents aux abords de l’école, ce qui crée beaucoup de trafic. C’est un élément de sécurité supplémentaire qui vient s’ajouter», exprime Éric Roy.