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Doit-on en conclure que leur modèle d'affaires était trop risqué?
«On flirte avec la rentabilité, donc on maintient le fort, mais il faut travailler très, très fort», avoue le franchisé Tite Frette de Cowansville et de Farnham, Pascal Lafrenière.
Plus d’une cinquantaine d’entrepreneurs ont investi pour faire partie du réseau Tite Frette. La popularité grandissante de la bière de microbrasserie a toutefois rapidement rattrapé les fondateurs de la chaîne, alors qu’il ne reste plus qu’une vingtaine de succursales ouvertes dans la province.
Pascal Lafrenière estime que la clé du succès pourrait se trouver en la diversification de l’offre de son magasin. «Le concept seulement bière et terroir, ça va être difficile à rentabiliser, dans nos marchés», croit-il.
Pour aider ses franchisés à traverser une période plus difficile, Tite Frette a décidé de s’associer au détaillant de bonbons Sugardaddys.
Voyez le reportage de Dominique Côté dans la vidéo liée à l’article.
Note de la rédaction: la version initiale de cet article indiquait que plus de la moitié des boutiques Tite Frette avaient fait faillite. Or, il s'agit plutôt d'un peu moins du quart. Pour plus d’information, consultez les normes éditoriales de Noovo Info.