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Dans sa vidéo, Mgr Lacroix invite même la plaignante, qui était âgée de 17 ans au moment des faits allégués, à porter plainte au criminel. Or, Me Alain Arsenault, qui représente également les requérants d’une action collective intentée contre l’archidiocèse de Québec, avait déjà «clairement» indiqué que la plaignante n’avait pas l’intention de se tourner vers les cours criminelles.
De plus, l’avocat soutient que le public pourra avoir la vérité à travers l’action collective.
«Madame va témoigner devant un greffier spécial de la Cour supérieure [...], va témoigner des événements. M. Lacroix pourrait toujours faire des contestations s’il le veut bien», explique Me Arsenault.
Toujours dans sa vidéo, Mgr Lacroix indique vouloir que les choses avancent plus rapidement. Toutefois, la réalité serait toute autre chose, indique l’avocat. Ni le cardinal ni l’archidiocèse ne l’a contacté pour faire bouger le dossier vers l’avant depuis que les négociations ont cessé.
«Je ne sais pas s’ils ont perdu mon numéro de téléphone. Personne ne m’a appelé», insiste-t-il.
Voyez l’entrevue complète dans la vidéo.