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«Ça ne me surprend pas à cause de la transmissibilité des virus qui circulent depuis le variant Omicron. C'est tellement transmissible que les moindres écarts aux mesures sanitaires font qu'on se retrouve contaminé», a expliqué Nathalie Grandvaux, professeure au département de biochimie et médecine moléculaire de l’Université de Montréal, en entrevue au bulletin Noovo Le Fil 17.
C'est ce que rapporte Héma-Québec qui a fait une nouvelle étude de séroprévalence, c'est-à-dire en analysant les anticorps présents dans le sang des donneurs.
«[...] Une grosse partie est due à la transmissibilité des virus qui circulent actuellement. Les variants sont plus transmissibles que ce qu'on avait il y a un an. Cumulés avec les mesures qui se sont atténuées au fur et à mesure, la contamination s'est propagée et c'était inévitable», ajoute la spécialiste des infections virales.
Voyez l'entrevue complète de Nathalie Grandvaux avec l'animatrice Noémi Mercier au bulletin Noovo Le Fil 17.