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Sans avoir tous les détails sous la main, notamment au niveau des effigies vendues, la directrice générale de l’événement, Marie-Ève Jacob, estime que l’achalandage dépassait celui de l’année dernière.
Mme Jacob rapporte d’ailleurs des hausses de l’achalandage chaque édition depuis quelques années. Le Carnaval mise sur ses deux aspects: «de jour, c’est adapté à la famille, mais de soir, on n’est plus du tout en mode famille. On est dans des spectacles».
Cette année, l’hiver a été plutôt difficile, c’est-à-dire timide, pour le Carnaval. L’année dernière, l’ouverture avait été retardée en raison de froids extrêmes.
L’organisation réfléchit à la question des changements climatiques depuis quelque temps. Comme la plupart des constructions de glace sont éphémères, certaines sont construites durant les festivités, et d’autres sont placées à des endroits stratégiques pour les protéger du soleil.
«C’est des réflexions qu’on a [...] et on va devoir s’adapter dans le futur», a soutenu Mme Jacob.
Voyez l’entrevue intégrale dans la vidéo.