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Il s’agissait d’une tentative de recréer l’énergie derrière le mouvement tenu à pareille date, en 2019, où des centaines de milliers de personnes de partout dans le monde sont descendues dans les rues pour sauver la planète.
Sans surprise, l’objectif principal était encore une fois d’envoyer un message aux élus des différents paliers de gouvernement pour mettre la protection de l’environnement au centre de leurs priorités, explique Pascal Florant de Solidarité populaire Estrie, l’organisme derrière l’organisation du rassemblement de Sherbrooke.
«La justice climatique, c’est non négociable. Il faut absolument que ça fasse partie des budgets et des plans futurs», soutient Pascal Florent.
En plus de citoyens, le mouvement est soutenu par différents groupes, dont des groupes sociaux et environnementaux, ainsi que des syndicats.
«Nous sommes là pour nos enfants et nos petits enfants. On voit que le monde est en train de se détraquer parce qu’on produit trop, on consomme trop, on pollu [..]», a partagé une participante, Anne-Marie Chapleau, coordonnatrice de Mères au Front Saguenay.
Les enfants étaient aussi de la partie.
«Je viens parce que je veux que notre terre soit aujourd’hui comme demain parce que je veux que tout le monde puisse avoir une vie choyée comme en ce moment», a fait savoir une jeune fille.
«La nature est forte, mais si on ne l’aide pas, elle a un peu de misère. Elle a juste besoin d’un petit coup de main», lance une jeune élève du primaire venue participer à la marche avec sa classe, à l’Université de Sherbrooke.
En collaboration avec Frédérica Fortin-Foster, Frédérique Bacon et Jennifer Gravel, Noovo Info.