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«On a envie de travailler avec les commerçants Maguire. Si M. Salvail n’a pas envie de travailler, on va travailler avec son CA. C’est aux membres de son CA de décider ce qu’ils vont faire avec le type de représentation qu’ils veulent. S’ils gardent M. Salvail, ils ont le type de représentation que M. Salvail fait», a mentionné M. Marchand.
Rappelons que la Ville de Québec avait affirmé vouloir, dorénavant, communiquer directement avec les membres du CA de la SDC Maguire et non avec son directeur.
«S’il appelle, je vais répondre. On peut jaser d’affaires importantes, mais on va jaser avec son CA de l’ensemble des plans», a fait savoir le maire Marchand. «Je ne l’appellerai pas.»
M. Salvail avait admis qu'il a été un peu loin dans ces propos, mais maintenait sa position sur l'enjeu de la subvention.
«C’était une boutade. Une demi-heure avant, je jouais au poker avec des amis. J’ai réagi à cause d’un ami. J’en ai rajouté une couche», avait-il dit à Noovo Info.
«On va dépenser 400 000 $ dans un secteur où il y a déjà beaucoup de monde. […] Ce 400 000 $ était-il vraiment nécessaire? Ce n’était pas ma meilleure déclaration sur Facebook, mais je ne pense pas que ce soit le meilleur move qu’il y eût à faire.»
Selon le maire Marchand, il est «irrespectueux» de qualifier les artistes de rue comme des «souffleux de ballounes», et ce peu importe le contexte formel ou informel.
Voyez le récapitulatif de Mathieu Boivin au bulletin Noovo Info Québec.