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«Quand ça fait 130 jours que tu ne t’es pas lavé, ça fait du bien», a confié Richard Rioux, une personne en situation d’itinérance.
Malgré tout, la demande ne cesse de grandir. Et le problème demeure inquiétant.
«Il y a une augmentation de l’itinérance, mais pas une augmentation des services, a déploré la coordonnatrice logistique au Répit Basse-Ville, Ariane Desharnais. On a beaucoup de personnes obligées de dormir à l’extérieur toutes les nuits.»
Mme Desharnais soutient que les répits permanents viennent vraiment en aide aux gens, leur offrant un «espace chaud où aller».
Voyez le reportage de Raquel Fletcher dans la vidéo.