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«À partir du moment où 92 % de nos enseignants nous avaient dit au printemps qu’on devait bannir les cellulaires des classes sauf pour des raisons pédagogiques […] je pense qu’on peut saluer cette décision», a-t-elle relevé au bulletin Noovo Info 17.
La mesure pourrait toutefois être difficile à appliquer d’emblée. «Les milieux ont pris des habitudes. Présentement, c’est chacune des écoles qui gère la façon de faire. Dans des milieux, c’était permis et dans d’autres non. Il faut se réajuster, c’est mieux quand ça arrive en début d’année», a-t-elle ajouté.
Selon Mme Scalabrini, le fait d’interdire les cellulaires en classe ne va pas nécessairement contribuer à réduire l’intimidation dans les milieux scolaires.
«L’intimidation, c’est beaucoup plus grand que le milieu scolaire. C’est un problème de société qu’on vit présentement. Au moins, à l’école, on peut espérer que ça ne sera pas une distraction», a-t-elle estimé.
Pour l’entrevue intégrale, visionnez la vidéo.