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D’ailleurs, la Fondation Jean Lapointe se réjouit que 17% des Québécois comptent éviter l’alcool durant le mois de février.
Pour connaître son origine, on doit retourner dix ans en arrière. «C’est le mois le moins long de l’année, donc ça risque de pogner davantage», a raconté la directrice des programmes de sensibilisation et de prévention pour la Maison Jean Lapointe, Anne Elizabeth Lapointe, en entrevue avec Meeker Guerrier au bulletin Noovo Le Fil Week-End.
Même si certains comptent réduire leur consommation, c’est 66% des Québécois qui comptent garder leurs habitudes. Pour Mme Lapointe, c’est un signe que nous sommes bien attachés à notre verre, «que ça soit occasionnel ou régulièrement».
«Comment ça se fait que cette substance-là soit la plus consommée, malgré le fait qu’elle fasse le plus de ravages?», s’interroge-t-elle. Quitte à ne pas changer nos habitudes, elle souhaite tout le monde qu’on se pose la question.
Étant responsable des programmes de sensibilisation et prévention, la directrice estime que ces stratégies fonctionnent. Cependant, ce n’est pas aussi simple que de prendre une pilule.
«Il faut avoir la foi envers la prévention», soutient-elle.
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La Fondation fait de la prévention dans la région de Montréal depuis 2004 et à travers la province depuis 2008. Après tout ce travail, Mme Lapointe estime que les jeunes, aujourd’hui, «sont mieux informés face aux risques.»
Et pour ceux qui souhaiteraient se lancer dans le Défi 28 jours: il n’est jamais trop tard.
Voyez l’entrevue intégrale dans la vidéo.