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Ces déchets humains pourraient être par la suite répandus sur les terres agricoles du Saguenay-Lac-Saint-Jean.
Le président de la fédération régionale de l’Union des producteurs agricoles (UPA), Mario Théberge, était de passage au bulletin Noovo Le Fil Saguenay animé par Jean-Simon Bui pour revenir sur le sujet.
«Ça fait plus de 20 ans que la totalité des boues de la Ville de Saguenay est utilisée pour fertiliser des champs. C’est principalement des producteurs agricoles qui n’ont plus de fumier d’animaux, parce qu’ils ont vendu leurs animaux et ont gardé leurs terres», précise M. Théberge.
Celui-ci ajoute que les producteurs agricoles ne pouvant miser sur du fumier animal doivent autrement se rabattre sur des engrais chimiques. Il est donc plus naturel d’utiliser les boues municipales.
«Jusqu’à preuve du contraire, les boues de municipalités sont naturelles et sont vérifiées auprès des agronomes», soutient M. Théberge.
Pour l’entrevue intégrale, visionnez la vidéo liée à l’article.
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