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Pour l’occasion, le groupe qui s’était jadis dissout, décide de se reformer le temps de quelques spectacles, notamment pour le Festival de jazz de Montréal.
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Et 25 ans plus tard, James Di Salvio ne réalise toujours pas à quel point ce hit continue de toucher de nouvelles générations.
«Ça nous a amenés autour du monde, ça va nous ramener pour la tournée mondiale pour dire merci à tout le monde cette année et on a tellement de gratitude pour cette chanson», a lancé le compositeur en entrevue au bulletin Noovo Le Fil week-end.
Di Salvio raconte d’ailleurs être revenu à Montréal en plein confinement, avoir loué un appartement et voir deux «jeunes de peut-être 13-14 ans» s’embrasser au beau milieu de la nuit sous cette fameuse chanson.
«On est bouleversés de voir [les gens de tous les âges] chanter encore les paroles, a-t-il ajouté. On n’aurait jamais pensé qu’on serait 25 ans plus tard en train de regarder ça.»
Pour James Di Salvio, la réunion de Bran Van 3000 n’est rien d’autre qu’une grande célébration, afin de se remémorer les anciennes gloires du passé.
«C’est le dessert dans tout ça. C’était toujours un projet de passion. On a goûté le succès mondial assez vite avec le caviar et le champagne et tout le trajet qui suit. À ce point-ci, ce n’est rien d’autre que la passion et la joie de jouer ensemble», a affirmé l’artiste de 49 ans.
Di Salvio qualifie d’ailleurs cette tournée mondiale de «voyage un peu cosmique» avec les admirateurs.
«On est un peu la mustang dans la forêt qui revient quelques jours après. On est juste contents d’être ensemble encore.»
Voyez l’entrevue complète dans la vidéo.