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L’autrice-compositrice-interprète, qui sera en spectacle dimanche au Festival international de jazz de Montréal, au Théâtre Maisonneuve de la Place des Arts, s’est confiée à Noovo Info en revenant sur sa carrière et ses expériences de vie, qui lui ont permis de performer sur une si grande scène.
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«Je n’ai pas le côté académique, a confié la Québécoise au bulletin Noovo Le Fil week-end, samedi. Je n’ai pas été formée dans les écoles, mais je pense qu’on peut être formée dans la vie. On peut être formée par nos expériences de vie et c’est ce que j’essaie de faire, de trouver le plus de bulles musicales que je pouvais intégrer et apprendre à créer des ponts entre ces différentes bulles.»
Voyez l'entrevue complète dans la vidéo.
Dominique Fils-Aimé raconte être passée par plusieurs styles musicaux avant de tomber en amour avec le jazz, notamment le hiphop, elle qui adore «créer des ponts, créer des mélanges au niveau artistique».
C’est après avoir découvert le jazz que Dominique Fils-Aimé s’est sentie complètement libre de faire tout ce qu’elle voulait.
«C’est même ce que le jazz demande. Et ça m’a donné le courage de me lancer dans mon propre projet personnel, sans besoin d’aller forcément chercher de l’inspiration ou des instrumentaux de d’autres personnes, d’y aller vraiment toute seule», se souvient-elle.
Lors de son processus créatif, l’artiste de 37 ans vise constamment à créer quelque chose d’authentique, qui «vient du cœur plus qu’autre chose».
«De se donner le droit de sortir des sentiers battus et de juste créer librement, c’est ce que j’essaie de faire.»
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