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«Ça nous a donné le ton à la mobilisation», a exprimé la présidente par intérim du syndicat des professionnels en soin de la Mauricie-et-du-Centre-du-Québec, Patricia Mailhot.
Avec ces changements, les infirmières seront forcées de travailler une fin de semaine sur trois.
L’objectif de ces mesures est d’atteindre un horaire sans temps supplémentaire obligatoire (TSO) et ainsi contrer l’épuisement du personnel.
Cependant, le syndicat craint que cette situation entraîne plus de «démissions et de départs à la retraite.»
Voyez l’entrevue intégrale dans la vidéo.