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Voyez le reportage d’Emmanuel Leroux-Nega sur le sujet.
Si les différents paliers de gouvernement sont au fait de la situation, ils ne s’entendent pas pour autant sur la solution à privilégier.
À Montréal, par exemple, Valérie Plante a promis que 60 000 nouveaux logements sociaux ou abordables verraient le jour au cours des 10 prochaines années. Québec soulève de son côté que la métropole est autonome sur la question et souligne avoir investi 30 millions $ dans son dernier budget pour construire davantage de logements sociaux et abordables.
«Le problème, c'est que le gouvernement actuel n'a pas décidé d'investir avec de nouvelles unités, pas juste à Montréal, mais ailleurs au Québec », a soulevé le vice-président du comité exécutif de la Ville de Montréal, Benoit Dorais.
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Le gouvernement fédéral a quant à lui récemment soumis son budget, qui comportait plusieurs promesses liées au logement. On voudrait par exemple doubler le nombre de nouvelles habitations au cours des 10 prochaines années. Justin Trudeau a aussi assuré vouloir travailler en collaboration avec les municipalités afin d'accélérer la construction de logements.
La plupart des organismes ont toutefois la même demande : que Québec impose un registre des loyers.