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«Intervenir auprès d’un enfant de 5 ans, c’est vraiment pas la même chose qu’intervenir auprès d’un ado de 16 ans», explique d’emblée la directrice générale de Jevi centre de prévention du suicide, Tania Boilard. Selon elle, il faut adapter les méthodes d’intervention en fonction de l’enfant. Par exemple, les interprétations du concept de la mort ou des idées suicidaires peuvent être différentes.
Pour Maxime Dubé, qui est coordonnateur santé mentale jeunesse au CIUSSS de l’Estrie-CHUS, l’offre de services est très différente pour les jeunes enfants. Selon lui, les parents «demeurent les premiers responsables de leur enfant». Il ajoute que les écoles et les garderies servent de partenaires dits «proximaux».
Voyez le reportage de Laurence Frappier dans la vidéo ci-contre.