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Avant même son ouverture, le centre faisait l’objection de beaucoup de contestation.
Il s’agit d’une première ressource du genre dans le quartier. Et déjà, certains enjeux de cohabitation se manifestent.
L’une des propriétaires du coin s’est d’ailleurs fait bousculer lorsqu’elle a demandé à plusieurs personnes de quitter l’avant de son immeuble. Ses locataires se plaignent également du bruit constant durant la nuit.
De leur côté, plusieurs bénéficiaires se disent heureux d’avoir enfin un endroit pour vivre.
«Même si on est dans la rue, on est des humains. On a le droit aussi s’en sortir», a exprimé une bénéficiaire sous le couvert de l’anonymat.
Dans quelques semaines, l’entrée utilisée par ces derniers devrait être déplacée de l’autre côté du bâtiment, promet l’organisation du centre.
Voyez le reportage de Véronique Dubé dans la vidéo.