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«L'argile du frêne tue graduellement l'arbre», a expliqué Jérôme Picard, conseiller en environnement à la Ville de Québec. «Ensuite, l'arbre va dépérir sur un temps.»
La Ville préfère donc abattre les arbres en voie de dépérissement, qui représentent un risque pour la sécurité. En effet, ils pourraient tomber sur des infrastructures ou même blesser des personnes.
Après cette opération d'abattage de cette année, il devrait rester plus de 4000 frênes à Québec. Du côté des territoires boisées, on en avait inventorié un plus de 100 000, dont 40 000 frênes doivent être abattus d'ici 2027.
M. Picard ne pense toutefois pas que cette espèce d’arbres va disparaître. «La nature va toujours revenir quand même. Un arbre va se régénérer», a-t-il dit.
Voyez le reportage de Félix-Antoine Audet dans la vidéo.