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Et sa méthode fonctionne si bien qu'elle se prépare à élargir ses services.
Voyez le reportage de Véronique Dubé dans la vidéo liée à l’article.
La maison de thérapie qu’elle a fondée offre un toit aux femmes tentant de sortir du cycle de la toxicomanie.
À l’âge de 46 ans, Liane a décidé de mettre derrière elle la consommation et de s’en sortir pour de bon. Ce sera ultimement sa septième tentative qui aura été la bonne. Selon ses dires, Liane, au fil de ses années de consommation, s’est constituée un dossier criminel «de quatre pages».
«Aller en thérapie, c’est une chose, mais quand tu sors, qu’est-ce que tu fais? C’est pour ça [que j’ai fondé] la maison», explique-t-elle qui est également directrice générale de son établissement.
Liane héberge notamment Annie, qui buvait jusqu’à tout récemment plus d’un litre de vodka quotidiennement avant son entrée à la Maison Liber-T.
«Le plus long que j’ai fait [sans boire], c’est 10 mois. Aujourd’hui, je suis rendue à quatre mois», témoigne-t-elle.
En plus d’héberger ces femmes, Liane leur offre aussi une structure aux femmes qu’elle héberge et les pousses à adopter une routine.