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Samuel Moderie aurait contacté en prison l’une des victimes, alors qu’il n’a pas le droit.
Une nouvelle accusation de non-respect de condition a été déposée jeudi contre le présumé prédateur sexuel de Tinder, Samuel Moderie, qui aurait fait au moins 15 victimes dans le grand Montréal.
Il aurait contacté l’une d’entre elles en prison, alors qu’il n’a pas le droit.
L’accusé fait maintenant face à un total de 44 chefs d’accusation, depuis son arrestation en février. L’accusé aurait utilisé un modus opérandi similaire chaque fois.
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Après des échanges sur des sites de rencontres, il se serait rendu chez ses victimes pour les droguer et les agresser sexuellement, selon la preuve.
Samuel Moderie aurait même volé certaines de ses victimes.
Les événements se seraient passés à Montréal, McMasterville et Saint-Jérôme.