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La semaine minière sert à démystifier et faire connaître l'industrie.
L'industrie minière va tenter de profiter des prochains jours pour tenter de se faire connaître.
C'est encore un défi, même en 2023.
C'est la 31è édition de la Semaine minière du Québec.
Des activités sont prévues, comme des conférences, des visites de mines et des portes ouvertes.
L'industrie minière, c'est plus de 10 000 emplois directs et indirects en Abitibi-Témiscamingue, avec de bons salaires.
C'est une industrie qui devra être impliquée dans l'électrification des transports.
La présidente-directrice générale de l'Association minière du Québec, Josée Méthot, explique qu'il y a encore de l'éducation à faire, malgré les années qui passent.
«On travaille à améliorer nos façons de faire pour réduire notre empreinte environnementale. On ne peut pas en dire autant d'autres juridictions minières dans le monde, alors que préfère que les mines soient faites ici», ajoute Mme Méthot.
Le maire de Malartic, Martin Ferron, rappelle que les minières ont des bons côtés pour l'Abitibi-Témiscamingue, mais que Québec devrait être plus généreuse en redevances.
«Du développement durable dans nos milieux, ça ne se fera pas par les gisements, qui vont finir d'être exploités dans le temps, alors que la communauté va être encore là. Investir dans les communautés et leurs projets, on a besoin du gouvernement et les minières. Ça prend des modifications réglementaires pour les redevances», indique M. Ferron.