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Justice

Les vidéos sur Facebook pourront être déposées en preuve au procès Lich-Barber

Kim Ayotte a supervisé les services paramédicaux et d'incendie ainsi que l'application des règlements de la ville lors de la manifestation de l'année dernière, en plus du service chargé des événements spéciaux.

Tamara Lich arrive au palais de justice pour son procès à Ottawa le lundi 18 septembre 2023. Le procès criminel de deux organisateurs du « Freedom Convoi » devrait entendre le point de vue de la ville sur la manifestation controversée alors que le directeur des urgences d'Ottawa prendra la barre.
Tamara Lich arrive au palais de justice pour son procès à Ottawa le lundi 18 septembre 2023. Le procès criminel de deux organisateurs du « Freedom Convoi » devrait entendre le point de vue de la ville sur la manifestation controversée alors que le directeur des urgences d'Ottawa prendra la barre.

Source

La Presse canadienne
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Les messages sur les réseaux sociaux et les vidéos publiées sur la page Facebook «Freedom Convoy 2022» pourront finalement être déposés en preuve au procès de deux des principaux organisateurs de la manifestation à Ottawa en 2022. 

Tamara Lich et Chris Barber font face à plusieurs accusations liées à leur rôle dans la planification de l'importante manifestation qui a rassemblé dans la capitale fédérale des milliers de personnes, pendant trois semaines, à l'hiver 2022. Les manifestants voulaient protester contre les restrictions sanitaires liées à la COVID-19 et contre le gouvernement libéral.

La Couronne souhaite utiliser ces publications dans les médias sociaux pour démontrer que les deux coaccusés ont conspiré si étroitement ensemble pendant la manifestation que les preuves contre l'un devraient s'appliquer automatiquement à l'autre.

La défense voulait d'abord s'opposer à l'admission en preuve du contenu de Facebook, affirmant que les messages qui n'avaient pas été rédigés directement par les accusés eux-mêmes n'étaient pas pertinents dans le cadre de leur procès.

Mais les avocats de Mme Lich et de M. Barber affirment désormais qu'ils feront valoir cet argument à la pièce, mais à la fin du procès, lorsqu'ils plaideront sur l'accusation de complot.

Le tribunal devrait entendre plus tard mardi le témoignage du directeur général des services d'urgence de la Ville d'Ottawa.

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La Presse canadienne
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