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Rogers prétend qu'elle n'aurait pas pu rétablir les services d'urgence plus rapidement lors de la panne de service généralisée survenue au début du mois et qui a paralysé les réseaux de l'entreprise et touché des millions de clients à travers le Canada.
Rogers Communications affirme dans un document présenté à l'organisme fédéral de réglementation des télécommunications qu'elle n'aurait pas pu rétablir les services d'urgence plus rapidement lors de la panne de service généralisée survenue au début du mois et qui a paralysé les réseaux de l'entreprise et touché des millions de clients à travers le Canada.
De nouveaux détails sur l'étendue de la perturbation ont également été inclus dans le dossier et varient de l'impossibilité des médias de produire des émissions d'information jusqu'aux pannes pour tous les clients des infrastructures critiques tels que les hôpitaux et les fournisseurs d'énergie.
Face aux plaintes et aux demandes d'enquête publique, le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC) avait donné à Rogers jusqu'à vendredi pour expliquer la cause de la panne, l'étendue du problème et les mesures prises pour éviter qu'un problème similaire ne se reproduise.
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Une grande partie des informations spécifiques fournies par la société de télécommunications ont été caviardées du document par le CRTC à des fins de sécurité et de concurrence.
Rogers a soutenu que l'étendue du problème, qui a déconnecté tous les services sans fil et câblés pour ses clients et les autres fournisseurs qui utilisent le réseau de Rogers, signifiait que la seule façon de restaurer les services 911 et d'alerte était de s'attaquer au problème à la source plutôt que de cibler spécifiquement ces zones pour des réparations prioritaires.
Des représentants de la société doivent comparaître devant un comité des Communes lundi pour discuter plus en détail de la panne.