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Économie

RioCan se dit exposée aux difficultés de La Baie d’Hudson, en demande de liquidation

Les deux sociétés sont copropriétaires de 12 magasins, dont certains des plus importants.

Des cyclistes passent devant La Baie d’Hudson au centre-ville de Montréal, le lundi 17 mars 2025. RioCan possède 22 % du magasin montréalais. LA PRESSE CANADIENNE/Christinne Muschi
Des cyclistes passent devant La Baie d’Hudson au centre-ville de Montréal, le lundi 17 mars 2025. RioCan possède 22 % du magasin montréalais. LA PRESSE CANADIENNE/Christinne Muschi

Source

La Presse canadienne
La Presse canadienne

La société de fonds de placement immobilier RioCan souligne mardi que la demande de protection contre les créanciers de La Baie d’Hudson est «décevante» et demande des conditions de restructuration justes et équilibrées.

Le fonds de placement est fortement exposé aux difficultés financières de La Baie d’Hudson, car les deux sociétés sont copropriétaires de 12 magasins, dont certains des plus importants.

 

La Baie d’Hudson attend l’autorisation du tribunal pour commencer la liquidation de tous ses magasins après avoir déposé une demande de protection contre les créanciers le 7 mars.

Le détaillant a demandé un sursis de paiement des loyers à la coentreprise, ce à quoi RioCan s’oppose.

RioCan indique dans un communiqué de presse qu’il compte utiliser toutes les voies commerciales et juridiques disponibles, ainsi que ses capacités de location et de développement, pour obtenir le meilleur résultat possible pour les propriétés.

Jonathan Gitlin, président et chef de la direction de RioCan, précise dans le communiqué que les emplacements comprennent des immeubles de premier plan offrant une valeur ajoutée, que ce soit pour des centres commerciaux ou des possibilités de réaménagement.

«Notre équipe a fait ses preuves en matière de recherche de solutions pour les espaces vacants et s’efforcera de protéger la valeur des biens immobiliers de la coentreprise, ajoute M. Gitlin. Ce processus nécessitera du temps, de l’expertise et la collaboration de toutes les parties prenantes.»

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La Presse canadienne
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