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Justice

Procès du «convoi»: le chef de cabinet de l'ancien maire poursuit son témoignage

Serge Arpin a participé à l'entente conclue par le maire avec les organisateurs du convoi Tamara Lich et Chris Barber pour déplacer les camions hors des rues résidentielles l'année dernière.

Tamara Lich arrive pour son procès au palais de justice d'Ottawa, le mardi 19 septembre 2023. Lich et son collègue organisateur du Freedom Convoi, Chris Barber, sont accusés de méfait, d'entrave à la police, de conseil à d'autres de commettre des méfaits et d'intimidation.
Tamara Lich arrive pour son procès au palais de justice d'Ottawa, le mardi 19 septembre 2023. Lich et son collègue organisateur du Freedom Convoi, Chris Barber, sont accusés de méfait, d'entrave à la police, de conseil à d'autres de commettre des méfaits et d'intimidation.

Source

La Presse canadienne
La Presse canadienne

Le chef de cabinet de l'ancien maire d'Ottawa, Jim Watson, devrait poursuivre aujourd'hui son témoignage dans le procès de deux organisateurs du «convoi de la liberté» avant que le tribunal ne prenne une pause de deux semaines.

Serge Arpin a participé à l'entente conclue par le maire avec les organisateurs du convoi Tamara Lich et Chris Barber pour déplacer les camions hors des rues résidentielles l'année dernière.

M. Arpin et le maire espéraient que l'accord permettrait à quelque 400 camions de quitter les quartiers résidentiels et de circuler dans les rues le long de la Colline du Parlement alors que la manifestation s'est étirée sur plusieurs semaines.

Mme Lich et M. Barber sont jugés pour méfaits présumés et pour avoir conseillé à d'autres de commettre des méfaits, des intimidations et d'autres délits pendant la manifestation.

Vendredi devait initialement marquer le dernier jour où la Couronne présenterait ses arguments contre eux, mais les arguments juridiques et autres retards ont mis le tribunal bien en retard, et M. Arpin n'est que le quatrième des 22 témoins de la Couronne entend faire témoigner.

Le tribunal cherche plus de dates pour terminer la preuve de la Couronne et laisser du temps pour davantage d'argumentations juridiques à la fin du procès.

Source

La Presse canadienne
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