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De son côté, le cabinet du ministre de l'Économie, de l'Innovation et de l'Énergie, Pierre Fitzgibbon, dit «travailler avec le gouvernement fédéral et Mitsubishi pour trouver un repreneur».
Les réactions n'ont pas tardé à l'annonce de la cessation des activités de la biopharmaceutique Medicago de Québec.
Le cabinet du ministre de l'Économie, de l'Innovation et de l'Énergie, Pierre Fitzgibbon, dit «travailler avec le gouvernement fédéral et Mitsubishi pour trouver un repreneur».
Le maire Bruno Marchand a dit trouver dommage de voir «un fleuron qui s'envole». Il a ajouté dans un gazouillis sur Twitter qu'il faut se retrousser les manches pour conserver, à Québec, toute cette expertise dans le domaine de l'innovation en santé.
Au fil des ans, Medicago a reçu plusieurs aides financières et prêts de la part des gouvernements. En mai 2015, Québec et Ottawa ont annoncé l'attribution de prêts de 60 millions de dollars et de 8 millions de dollars, respectivement pour la construction d'un complexe sur la rue d'Estimauville à Québec qui regroupe le siège social de l'entreprise, ses activités de recherche et de développement, ainsi qu'une usine pilote et une usine commerciale de production de doses de vaccin.
La contribution de la Ville de Québec au projet s'élevait à 6,5 millions de dollars.
Selon le ministre Fitzgibbon, le prêt accordé par Québec sera remboursé.
Le consortium japonais Mitsubishi propriétaire de Medicago a annoncé jeudi soir la fin des activités au Québec, une décision qui se traduira par la perte de 300 emplois.
Avec de l'information de La Presse canadienne