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Le projet de modernisation du parc Guèvremont (entre l'école et l'aréna) accumule les retards, mais devrait cheminer l'an prochain.
Plusieurs projets d'envergure vont finalement se concrétiser à St-Cyrille-de-Wendover dans les prochains mois.
Le projet de modernisation du parc Guèvremont (entre l'école et l'aréna) accumule les retards, mais devrait cheminer l'an prochain.
Le projet de parc urbain de près de 1 million de dollars comprend notamment de nouveaux modules, des jeux d'eau, l'ajout de végétation, un sentier pédestre, un trampoline géant, un bâtiment de service, un nouveau skatepark et la rénovation d'une surface de Dek.
«Des gros délais qui ont été occasionnés par la firme de concepteurs choisie au départ par l'ancienne administration municipale. (...) Dernièrement, on a tout rapatrié à l'interne, ce qui va faire en sorte que les travaux ne se feront qu'au printemps prochain, mais on sera fin prêt», affirme le maire suppléant et conseiller municipal, Sylvain Masson.
Les plan et devis seront complétés prochainement.
St-Cyrille désire aussi revitaliser le cœur de la municipalité et a retenu les services de la firme Rues principales pour l'épauler dans la démarche. L'objectif est de trouver des idées d'aménagements pour le secteur longeant la route 122, notamment les rues Saint-David, Saint-Laurent et Saint-Damase ainsi que le rang 4 de Simpson.
Le conseil municipal aimerait y intégrer des commerces de proximité. On y a suggéré une microbrasserie, une boulangerie, de nouveaux restaurants et autres.
Rues principales devrait fournir un bilan de la démarche au printemps prochain.
Par ailleurs, le conseil municipal est toujours fonctionnel malgré le fait que le vote de non-confiance envers le maire Éric Leroux est toujours valide. L'allocation de départ prévu d'ailleurs à la fin du mandat du maire ou s'il n'est pas réélu a été retirée par le présent conseil.
Aucune plainte n'a été finalement retenue contre lui à la Commission municipale du Québec ni contre les conseillers. Le conseil municipal dénonçait des décisions qui auraient été prises sans son accord au début du mandat en plus d'une interprétation à l'encontre du code d'éthique et de déontologie laissant place aux conflits d'intérêts. M.Leroux avait affirmé l'hiver dernier vouloir rétablir le dialogue à plusieurs reprises et accusait à son tour certains conseillers d'être en conflit d'intérêts.
Des employés municipaux ont quitté avant ce mandat, mais également dans les derniers mois, ce qui a retardé certains projets.