Début du contenu principal.
Si les métiers susceptibles de se développer grâce à l’électrification des transports sont bien identifiés, il en est autrement de ceux dont l’avenir pourrait être compromis par ce phénomène.
Si les métiers susceptibles de se développer grâce à l’électrification des transports sont bien identifiés, il en est autrement de ceux dont l’avenir pourrait être compromis par ce phénomène.
Un rapport préparé pour la Commission des partenaires du marché du travail, publié plus tôt cette semaine, relève en effet qu'on manque de données quant aux emplois qui seraient affectés par l'électrification des transports, alors que cet enjeu est important si l'on veut bien accompagner la main-d'oeuvre vers la transition verte.
Parmi les pistes d'action suggérées, le rapport propose de favoriser le déploiement partout au Québec de la formation menant à une Attestation d'études professionnelles (AEP) en mécanique de véhicules électriques, ainsi que l’accessibilité des clientèles à ce programme.
On y propose aussi d'instaurer des stages en entreprise pour faire connaître l’industrie des transports électriques aux étudiants.
On y suggère également d'offrir aux entreprises des outils simples et accessibles pour leur permettre de favoriser la transition verte de leur main-d’œuvre, comme des ateliers, des formations en ligne, des guides et des outils d’autodiagnostic des compétences.
À lire également :