Début du contenu principal.
À compter de ce lundi, il ne sera plus obligatoire de porter le masque dans la plupart des milieux en Ontario, à l'exception des transports en commun, des soins de longue durée, des maisons de retraite et des autres établissements de soins collectifs.
D'autres mesures dans les écoles, telles que les cohortes et le dépistage quotidien sur place en cas de symptômes, prennent aussi fin, de même que toutes les exigences réglementaires pour les entreprises.
Certains conseils scolaires avaient demandé la permission de maintenir le port du masque dans les écoles un peu plus longtemps, plaidant les faibles taux de vaccination chez les enfants de cinq à onze ans et la nécessité de prévenir les éclosions de COVID-19 au retour de la semaine de relâche. Cependant, le premier ministre Doug Ford a déclaré que les conseils scolaires devaient se conformer aux directives lancées par le médecin-hygiéniste en chef, le Dr Kieran Moore.
Pour sa part, la Nouvelle-Écosse retire ses exigences sur le port du masque pour la plupart des espaces publics, mais les maintient dans les écoles publiques.
À lire et à voir également : Les possibles conséquences d'un refus encaissé par le vaccin de Medicago
D'autres mesures dans les écoles, telles que les cohortes et le dépistage quotidien sur place en cas de symptômes, prennent aussi fin, de même que toutes les exigences réglementaires pour les entreprises.
Certains conseils scolaires avaient demandé la permission de maintenir le port du masque dans les écoles un peu plus longtemps, plaidant les faibles taux de vaccination chez les enfants de cinq à onze ans et la nécessité de prévenir les éclosions de COVID-19 au retour de la semaine de relâche. Cependant, le premier ministre Doug Ford a déclaré que les conseils scolaires devaient se conformer aux directives lancées par le médecin-hygiéniste en chef, le Dr Kieran Moore.
Pour sa part, la Nouvelle-Écosse retire ses exigences sur le port du masque pour la plupart des espaces publics, mais les maintient dans les écoles publiques.
Le Dr Robert Strang, médecin-hygiéniste en chef de la Nouvelle-Écosse, soutient qu’au retour des vacances de la relâche, certains élèves qui pourraient avoir été exposés au virus qui est toujours actif dans les communautés pourraient en contaminer d’autres. Il est donc logique, à son avis, de faire porter le masque comme moyen de ralentir toute transmission potentielle dans l’environnement scolaire.
Le premier ministre de la Nouvelle-Écosse, Tim Houston, a déclaré la semaine dernière que les masques resteraient également obligatoires dans d'autres lieux tels que les hôpitaux, les maisons de soins de longue durée et les prisons.
Voyez également le dossier de Noovo Info sur la COVID longue.
L'administratrice en chef de la santé publique du Canada, la Dre Theresa Tam, encourage le port du masque dans les espaces publics considérant la possibilité d'une remontée des cas d’infections à la COVID-19 comme celles vues dans plusieurs pays d'Europe et d'Asie à cause de la présence du sous-variant d'Omicron BA.2.
La Dre Tam se montre toutefois encouragée par le haut taux de vaccination du Canada, notant que les pays qui ont une plus faible proportion à cet égard affichent de plus hauts taux de mortalité.
La médecin-hygiéniste en chef du Nouveau-Brunswick, la Dre Jennifer Russell, encourage fortement l'usage continu du masque, en particulier pour les personnes plus susceptibles de développer des conséquences graves de la COVID-19, même si les restrictions imposant le masque ont été levées il y a une semaine.Le Dr Robert Strang, médecin-hygiéniste en chef de la Nouvelle-Écosse, soutient qu’au retour des vacances de la relâche, certains élèves qui pourraient avoir été exposés au virus qui est toujours actif dans les communautés pourraient en contaminer d’autres. Il est donc logique, à son avis, de faire porter le masque comme moyen de ralentir toute transmission potentielle dans l’environnement scolaire.
Le premier ministre de la Nouvelle-Écosse, Tim Houston, a déclaré la semaine dernière que les masques resteraient également obligatoires dans d'autres lieux tels que les hôpitaux, les maisons de soins de longue durée et les prisons.
L'administratrice en chef de la santé publique du Canada, la Dre Theresa Tam, encourage le port du masque dans les espaces publics considérant la possibilité d'une remontée des cas d’infections à la COVID-19 comme celles vues dans plusieurs pays d'Europe et d'Asie à cause de la présence du sous-variant d'Omicron BA.2.
La Dre Tam se montre toutefois encouragée par le haut taux de vaccination du Canada, notant que les pays qui ont une plus faible proportion à cet égard affichent de plus hauts taux de mortalité.
La médecin-hygiéniste en chef du Nouveau-Brunswick, la Dre Jennifer Russell, encourage fortement l'usage continu du masque, en particulier pour les personnes plus susceptibles de développer des conséquences graves de la COVID-19, même si les restrictions imposant le masque ont été levées il y a une semaine.